La première saison de A la vie, à la mort, le podcast de Syprès n’a pas laissé indifférent. Florilège des réactions


«  Merci pour cette belle leçon de vie et de mort » (Saliha sur facebook)
« Quelle idée formidable » (Sophie sur Linkedin)
« C’est ouf » (Olivier sur Facebook)
« Un bijou » Elise sur Facebook
« Quelle belle vie ! » Llatan sur Apple Podcast
« Grosse grosse émotion… » (Isabelle sur Facebook)
« Ce podcast réveille les morts !» (Emmanuel sur Linkedin)
« La vie des morts avant leur mort, c’est passionnant, émouvant, drôle (Christelle sur Facebook)
« J’ai écouté le troisième pendant une insomnie. Hâte d’avoir la suite »  (Sarah sur Instagram)
« Vivement la suite… » (Gwenola sur Facebook)

Le moins que l’on puisse dire c’est que la diffusion de A la vie, à la mort, le premier podcast du journaliste et sociétaire Eric Le Braz, inspiré et soutenu par Syprès, n’a pas laissé indifférent sur les réseaux sociaux et les plateformes de diffusion. Par dizaines, les auditeurs ont témoigné de leur émotion à l’écoute de l’histoire de Goucem racontée par son amie Nathalie.

Goucem en Algérie
Goucem et ses filles

Tandis que des médias ont aussi commencé à repérer cette histoire d’amitié « à la vie, à la mort ». A commencer par Happy End : le site de référence sur la mort et le deuil qui a placé le podcast dans sa playlist :  « A la vie, à la mort, c’est surtout une histoire de vie. Dans cette première saison, elle retrace celle de Goucem à travers les paroles de sa meilleure amie Nathalie. De sa fuite en Algérie à son installation dans les quartiers manouches de Bordeaux, on découvre une existence hors du commun. Et surtout une femme volontaire, curieuse des autres, qui a décidé de rester positive quelle que soient les embûches. Une belle leçon de vie ! »

« Aborder le sujet de la mort à travers un podcast qui raconte l’existence d’un défunt, en voilà une jolie idée. Ce premier témoignage de Nathalie sur sa meilleure amie Goucem est le plus beau des hommages à cette femme hors du commun », explique Soun sur Apple Podcast.

Sur cette même plateforme de diffusion où la série a pour l’instant une moyenne de 5 étoiles (ne cherchez pas, c’est le maximum), Ubik écrit : « Une approche originale et touchante qui rappelle les hommages émouvants qu’on entend souvent aux enterrements. La vie de Goucem est incroyable et Nathalie sait la raconter. La plongée sonore dans l’Algérie de la guerre civile ou les quartiers manouches de Bordeaux est un vrai voyage. ». « inspiré par des personnes ordinaires que l’on ne connaitra jamais »

Sur Facebook, Corine résume bien les sentiments de toutes celles et de tous ceux qui ont découvert la vie hors du commun de Goucem : «  Très touchante Nathalie qui raconte le destin de son amie Goucem. On prend conscience qu’il y a des vies dès le départ mal engagées. Un mariage arrangé par les parents qui pensaient bien faire, mais font le malheur de leur fille, la fuite en France, les rencontres, … Je vous laisse découvrir ce destin de femme à la forte personnalité, dotée d’une grande joie de vivre, combative. Une leçon de vie. Mais on le sait, la vie est injuste… »

La voiture avec laquelle a eu son accident
La plaque mortuaire de Goucem

Et Christine de renchérir : « Un premier podcast est à la fois joyeux et émouvant, il nous parle de la vie des morts quand ils étaient encore bien vivants. On écoute comme si on les connaissait, comme ‘ils étaient là’ ».

Comme souvent, quand il s’agit de récits sur la mort, ce sont les femmes qui s’expriment le plus et qui en parlent le mieux. Mais il y aussi quelques hommes comme Jean-Michel qui trouvent les mots justes pour résumer les impressions à l’écoute. « A priori, le thème n’est pas « glamour », mais à l’écoute on peut être touché, ému, voir inspiré par des personnes ordinaires que l’on ne connaitra jamais ».

Et c’est aussi un homme, Slimane-Yann Ammor-Bihan, qui a sélectionné A la vie à la mort parmi « 7 podcasts pas morbides sur la mort » et qui  résume ainsi les six épisodes de cette première saison : « Le destin de Goucem est tragique mais Nathalie le raconte sans jamais sombrer dans le pathos. C’est fluide, drôle et vivant. Il faut dire que Nathalie anime aussi des ateliers sur le deuil à la coopérative funéraire Syprès dont les cafés mortels ont inspiré le podcast. Bon, même si la série ne joue pas sur des ressorts mélodramatiques, ça ne m’a pas empêché d’écraser une petite larme au dernier épisode… »

Pas impossible que vous sortiez aussi vos mouchoirs à la fin de l’histoire. Mais ce n’est pas non plus le but de A la vie, à la mort. Cette série, c’est d’abord une histoire exemplaire qui nous apprend au fil des épisodes que, même tragique, injuste, absurde… « la vie est belle, alors… profitez de la vie ! ».

Si vous n’avez pas encore découvert le podcast allez vite écouter le podcast qui parle de la mort en célébrant la vie !  chez Syprès.

Ou sur votre plateforme préférée.